Manipulation des masses
Il y eut Timisoara, ses faux charniers. Il y eut les bébés des maternités de Koweit débranchés des couveuses par les irakiens : faux témoignage de la fille d'un haut dirigeant koweitien. Il y eut les armes de destructions massives irakiennes qui étaient si puissantes qu'elles se trouvaient dans une fiole que l'américain Powell, sans crainte car il savait que le ridicule ne tue pas, exhiba dans une réunion à l'ONU.
Aujourd'hui un ministre, sinistre, ukrainien affirme que les « séparatistes » mettent des mines pour mutiler les enfants. Il affirme en plus, car le ridicule ne tue toujours pas, que la Russie a envahi l'Allemagne et l'Ukraine pendant la deuxième guerre mondiale, et qu'il ne faut pas que cela recommence.
Il y eut, il y a, il y aura bien d'autres intox. Quelle honte pour les journalistes de la presse « libre » de, non seulement ne pas dénoncer ces intox, mais au contraire de les répercuter, d'en faire des sujets d'information crédibles, de, finalement, suivre le concept de propagande de Goebbels, expert en manipulation des masses.