Je connais la future ministre de Macron.

Ce matin sur France Inter je l'ai entendue. Le journaliste qui, après les mensonges du sinistre de l'intérieur commence enfin à avoir des scrupules de déontologie, lui dit : "Les gilets jaunes ne sont pas entrés dans l'hôpital". Elle, délirante : "oui mais s'ils étaient entrés, on ne sait pas ce qu'ils auraient fait".

Intelligente, ayant déjà assumé de hautes responsabilités et continuant à en assumer, comment peut-elle avoir des mots aussi à ras des pecresses ? (Zut, j'ai vendu la mèche !)

La seule hypothèse c'est qu'elle postule pour entrer au gouvernement et son acharnement contre les gilets jaunes est dû à sa peur qu'on ait fait le ménage avant : si la mobilisation continue un effet politique est inévitable et à minima une dissolution de l'Assemblée Nationale et donc un nouveau gouvernement dans lequel elle n'aura pas sa place.