La mafia économique a des complices
"On ne résout pas un problème avec les modes de pensée qui l’ont engendré" (Albert Einstein)
Encore moins avec les personnes qui ont crée le problème.
Quelques exemples de personnalités de l'oligarchie financière, cause et bénéficiaire de la crise économique.
Luis de Guindos, nouveau ministre de l'économie espagnol, ancien de la banque américaine Lehman Brothers.
Mario Draghi, directeur de la Banque Centrale Européenne, ancien de la banque américaine Goldman Sach.
Mario Monti, président du conseil des ministres italien, ancien de la banque américaine Goldman Sach.
Lucas Papademos, premier ministre grec, a collaboré avec Goldman Sachs, en particulier de 1994 à 2002 étant gouverneur de la banque centrale de Grèce.
En février 2010, le New York Times affirme que la banque Goldman Sachs porte une responsabilité directe dans l'aggravation de la crise de la dette publique grecque.
Début 2010, un rapport de la justice américaine révèle que depuis 2007, la banque Lehman Brothers masquait son endettement. Il accuse les anciens dirigeants d'avoir utilisé de façon abusive une technique comptable, le Repo 105, qui a conduit à « présenter un bilan erroné ».
Cette mafia économique détenait déjà un pouvoir exorbitant. Elle a maintenant un pouvoir politique direct.
Les personnalités politiques, en premier lieu Sarkozy et Merkel, en sont responsables.
Continuer à considérer la dette publique et le déficit public comme des problèmes premiers, prioritaires, c'est être complice de cette mafia.
En France, le seul courant politique qui a un programme en rupture avec cette logique et qui présente un candidat qui défend ce programme* est le Front de Gauche.
Le programme du Front de Gauche, "l'humain d'abord" est en librairie à 2€ seulement.
*Il y a un parti qui a un programme et un candidat, mais le candidat n'a pas le même programme !